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Que faisiez-vous vers 00h30 la nuit du Dimanche 26 novembre 2023 ? Vous dormiez ? Quel dommage ! Ce n’est pourtant pas faute de vous dire de lever les yeux au ciel… 
Un superbe halo lunaire s’est ainsi dessiné, encerclant parfaitement notre satellite naturel, et il n’en fallait pas plus pour que notre président ne dégaine son botier photo !
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Le Samedi 18 novembre dernier, dans la campagne de l’arrière-pays héraultais, des membres de l’ASAT ont été irrésistiblement attirés par la voûte céleste. Au silence de la nuit était associée l’arche de la Voie Lactée vers laquelle étaient dirigés lunettes et télescopes, dont certains munis d’appareils photos. Comment en effet imaginer un photographe totalement indifférent devant le spectacle céleste offert à nos yeux ébahis ? Impensable !
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En novembre 1974, un message radio est émis vers le ciel avec le radiotélescope géant d’Arécibo qui n’existe plus aujourd’hui (il s’est cassé la gueule !). La cible de ce message n’est autre que le célèbre amas d’étoiles Messier 13, situé dans la constellation d’Hercule. Un amas contenant un demi million d’étoiles dans une sphère de 140 années-lumière de diamètre (voir photo).
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Voici une image de Vénus flirtant avec la Lune, prise à la volée au téléobjectif de 500 mm de focale (sur trépied). Un simple effet de perspective…
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Il ne restait donc plus qu’à attendre le début de cette modeste éclipse partielle (voir le précédent post). Mais les passionnés étaient sur le terrain pour observer et immortaliser le phénomène.
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Et ce 28 octobre 2023, nous serons forcément en phase de pleine Lune. Mais attention, la Lune ne sera pas plus grosse ou plus petite que d’habitude, ni plus rouge, plus verte ou plus bleue… Les âneries médiatiques, ça va cinq minutes, ensuite stop !
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.. Vers laquelle Gilles a pointé hier soir sa petite lunette pour deux cibles bien précises, à savoir les nébuleuses IC 405 et IC 410.
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La dendrochronologie permet d’étudier les anneaux visibles sur un tronc d’arbre coupé, les fameux cernes. Et c’est en étudiant les cernes d’arbres subfossiles, c’est-à-dire quand la fossilisation n’est pas à son terme, que des chercheurs français et anglais ont repéré un pic de carbone 14 associé à une énorme tempête solaire.
