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.. Vers laquelle Gilles a pointé hier soir sa petite lunette pour deux cibles bien précises, à savoir les nébuleuses IC 405 et IC 410.
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La dendrochronologie permet d’étudier les anneaux visibles sur un tronc d’arbre coupé, les fameux cernes. Et c’est en étudiant les cernes d’arbres subfossiles, c’est-à-dire quand la fossilisation n’est pas à son terme, que des chercheurs français et anglais ont repéré un pic de carbone 14 associé à une énorme tempête solaire.
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La plus grande et massive planète du Système solaire, la cinquième dans l’odre d’éloignement du Soleil.
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D’abord au collège Olympe de Gouges où les élèves ont pu observer éruptions et tâches solaires dans notre lunette spécialement adaptée.
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C’était il y a plus de 10 000 ans, mais il n’y a aucun lien avec ces deux évènements. Les « archéo-astro-géologues » relèvent des indices, font des découvertes sur le passé de la Terre ou du ciel.
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Encore une très belle journée sans nuages aujourd’hui. Ce soir, pourquoi ne pas aller observer (et photographier) le coucher du Soleil, par exemple depuis la table d’orientation des Pierres Blanches sur le Mont Saint-Clair ?
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C’est en effet le 30 septembre, il y a 143 ans exactement, qu’un certain Henry Draper photographiait pour la première fois un objet dit « du ciel profond », à savoir la nébuleuse d’Orion (Messier 42), située à 1 500 années-lumière de la Terre.
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Le 9 septembre dernier, à 22h13 TU (minuit treize heure locale), un brillant bolide de magnitude -10 (presque l’éclat de la pleine Lune) traverse le ciel de la région du Cher, en présence de nombreux témoins.
