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Il y a 10 000 ans environ, les hommes du néolithique ont dû certainement être les témoins de l’apparition d’une nouvelle étoile dans le ciel, dans la constellation du Cygne ; et pour cause, une étoile géante relativement proche (1 500 années-lumière) a explosé durant cette période, devenant assez brillante pour être visible en plein jour pendant plusieurs semaines.
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Depuis bientôt 30 ans, des milliers de planètes « extra-solaires » ont été découvertes autour d’autres étoiles. Plus de 5 000 exoplanètes – c’est ainsi qu’on les nomme – sont aujourd’hui identifiées. Mais il n’y a pas de Système solaire bis, un peu comme si nous étions l’exception qui confirme la règle.
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Sous un ciel protégé de la pollution lumineuse (ça existe encore !), si vous pointez votre regard vers la constellation du Sagittaire, vous distinguerez peut-être dans la Voie Lactée une petite tâche floue qui se démarque des étoiles. C’est la nébuleuse Messier 8, surnommée la Lagune par les astronomes, une des quelques nébuleuses visibles à l’oeil nu.
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Il y a 17 ans, au début de l’année 2006, le système solaire est encore composé de 9 planètes, Pluton étant la dernière par ordre de distance au Soleil. Mais au mois d’août de la même année, Pluton n’est plus considérée comme une planète !
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La discrète constellation de Céphée cache des objets qui font le bonheur des observateurs et des astrophotographes. La nébuleuse présentée ici en est un parfait exemple.
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La station spatiale internationale (ISS) est passée ce dimanche 11 juin 2023 devant la Lune, un transit visible depuis notre région en fin de matinée, à condition de se trouver au bon endroit et à la bonne heure.
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La constellation du Cygne est désormais bien visible le soir et va nous accompagner tout l’été et une bonne partie de l’automne. Non loin de la brillante étoile Déneb, l’étoile principale du Cygne, se trouve un astre un peu plus faible mais encore largement visible à l’oeil nu ; c’est l’étoile nommée Sadr, également appelée Gamma Cygne.
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Sur les hauteurs de Villeveyrac, non loin des éoliennes, plusieurs membres de l’ASAT se sont rassemblés sous la voûte céleste. Gilles et Philippe ont pointé une petite lunette vers les nébuleuses NGC 7000 et IC 5070, deux vastes nuages de gaz et de poussières, en pleine Voie Lactée.
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On a tous vu l’image universelle de la trace de pas laissée par la « Moon Boot » de Neil Armstrong lorsqu’il a posé le pied sur la Lune, en Juillet 1969 (54 ans ont passé, déjà).
Oui mais voilà, beaucoup de gens ignorent qu’en fait, ce n’est pas la trace de pas d’Armstrong qui figure sur l’image, mais celle de son compatriote Buzz Aldrin…
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Baptisé AR 3354, cet immense groupe actuellement visible s’étend sur des dizaines de milliers de km. Ces zones sombres plus froides que le reste de la surface solaire matérialise l’intense activité magnétique de notre étoile. Les taches solaires vont être très nombreuses dans les mois à venir car le Soleil est proche du maximum de son cycle d’activité (cycle de 11 ans). Tâches et éruptions vont se multiplier et le spectacle dans nos instruments sera passionnant à observer. C’est en 2025 que l’activité solaire devrait être maximale (fin 2024 d’après certains).
